QUALITÉS Loyale. Réfléchi. Responsable. Charismatique.

DÉFAUTS Bipolaire. Violente. Sans pitié. Excessive.

Mon nom est Choi Ha Rin, pas « Ha’ », « Rin’ », « HaRin-chou », ou quoi que ce soit d’autre, ok? Je tiens à mon identité et je refuse de la perdre à nouveau.
Si je devais me décrire… Erf… J’avoue que là, tout de suite, je ne sais pas quoi dire. M’enfin, j’vais faire au mieux.
Je suis assez bizarre comme fille, comme si j’avais un dédoublement de personnalité. Et le pire, c’est que je m’en rends compte, mais que je ne peux pas le changer! Je suis généralement silencieuse, froide, et un rien me fait peter les plombs et battre à mort la personne qui serait la cause de ce petage de câbles. Mais d’un coup, du jour au lendemain, sans prévenir, je peux être toute souriante, aimer tout le monde, rire… bref, rien à voir entre les deux.
Je sais que je suis capable d’apprecier quelqu’un, mais je n’aime pas ça et généralement je fais tout pour rejeter les gens loin de moi. Pour moi, les personnes les plus proches sont les plus aptes à vous faire du mal. Mais malgré tout, je ne suis jamais seule. C’est étrange, mais la vie fait des choses insensées parfois.
J’aime beaucoup une chose: faire rougir la populace sous mes coups. Allez savoir pourquoi. Et ce besoin maladif de faire du mal m’a amener à connaître la manipulation de nombreuses armes, ainsi qu’à connaître de nombreux points sensibles du corps humain. Les autres disent que je suis sadique… Surement. Pourtant je ne fais jamais du mal pour rien! Je veux dire, imaginons que quelqu’un me pousse dans la rue et s’excuse: tout ira bien pour lui; mais dans le cas où il en exigerait… Là j’avoue ne pas savoir.
Rah! Je ne sais pas quoi dire! Mise à part le fait que je suis loyale au Lanbaoshis, que comme beaucoup de gens j’aime vivre le moment présent, que j’aime le sexe, la vie, la torture, la richesse, les vêtements, etc. je ne vois rien à ajouter… Mais si tu as des questions plus précises, tu obtiendras peut-être des réponses. Enfin, si tu me donnes quelque chose en échange, ça va de soi.

Si vous êtes un pirate : Même si je considère être entrée dans la piraterie il y a un an, certains signes indiques clairement que j’y étais depuis plus longtemps que ça. Mais pour faire court, les pirates m’ont sauvés, alors je les ai rejoint. J’ai aussi rejoint cet équipage en particulier pour ces raisons, car d’autres n’auraient rien fait pour moi et je serais très certainement une momie à l’heure actuelle sans eux. De plus, je me suis découvert un côté violent que je peux assouvir au travers de la piraterie sans avoir de poids sur la conscience, alors vous pensez bien: c’est tout bénef‘!
Quant à mes proches, écoutez, ce ne sont pas eux qui sont à ma place, et ce ne sont pas eux non plus qui rougissent et saignent sous la violence de mes coups, alors ils n’ont rien à dire.

Qui étais-je? Personne ne saurait me répondre. Mon plus vieux souvenir n’est vieux que d’un an. Et encore, le mot souvenir en lui-même est un bien grand mot. Un flou blanc dans lequel s’immiscèrent quelques silhouettes humaines. Voilà la première chose dont je me souviens. J’aime à dire que ce court instant a été ma naissance. Qu’importe ma vie antérieur à ces images, car mon présent n’est aujourd’hui façonné que par l’actuelle moi.
A mon réveil, j’étais sur un bateau, un pistolet fermement tenu dans ma main avec une seule et unique balle, et j’avais la peau sur les os. Bien sûr, ça n’avait pas été par gentillesse qu’on m’avait sauvé de cette famine perceptible. S’il on m’avait recueillit… C’était à la base uniquement pour me soutirer des informations sur ceux qui m’avaient. Mais j’avais attisé les colères de nombreux marins, ou devrais-je plutôt dire « pirates », en ne pouvant leur donner de réponse. Peut-être que la faim avait créé ce trouble, ou bien avais-je reçu un mauvais coup, le fait étant que je ne me rappelais, et ne me rappelle toujours pas, de ma vie d’antan. Comment aurais-je pu leur parler d’autres individus quand je ne me rappelais pas de mon propre nom?
Le fait étant que j’aurai du mourir là, ou bien être rejetée là où on m’avait trouvé. Mais allez savoir pourquoi, j’avais plu. Est-ce que c’était le charisme, ou bien la force avec laquelle j’avais serré mon arme même en étant inconsciente? Je ne le sais toujours pas.
Par la suite, je fus testée par les Lanbaoshis, soit l’équipage qui m’avait recueillit. Ce ne fut pas facile, vous vous doutez bien, et j’ai fahit en tuer plus d’un, mais le capitaine lui-même me stoppait avant l’irréparable. Ils m’avaient gardé, pour une seule et unique raison: depuis que j’ai posé le pied chez ces pirates, j’avais toujours été dévouée à leur capitaine. Certains diront que je suis le chien de cet homme, et ils ont surement raison. Mais sachez aussi que ceci me fit devenir officier. Un officier « maître de torture » en quelque sorte. Alors je vous laisse deviner mon degré de violence.