Invité Invité | Sujet: Hester's gallery Mer 21 Nov - 16:10 | |
| Bienvenue sur ma galerie mes amis ♥ Alors je préviens tout de suite, je ne suis pas du tout, mais alors pas du tout une pro ! Je graph de temps en temps car j'aime bien ça et que je veux des avatars made by me pour mes perso rp aussi... Je préfère... Bref voilà. Essayer d'enjoyer un peu quand même *-* AVATAR
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J'écris aussi quelques os ou garde quelques rps de temps en temps où je mets tout à la suite pour faire un sorte d'OS... En voici un ! Dans l'univers de Mogsoli, l'autre forum de Kay qui gère sa mère la fougère <3 ATTENTION LEMON ! Je vous ai laissé grace de l'avant et de l'après lemon... C'est déjà assez long comme ça, et vu qu'on est qu'une bande de pervers, je sais qu'il n'y a que ça qui vous intéresse <3 Imaginez : TOP et Bom :3 - Spoiler:
Dix ans. Oui. C'était cela. Cela faisait déjà un moment. Je savais que beaucoup de personnes entendant Mogsoli pouvaient ne pas évoluer du tout, durant toute leur vie, mais je trouvais tout de même cela bizarre que je sois toujours au stade II. Je ne m'en plaignais pas, loin de là ! Je trouvais juste ça... bizarre. C'était le mot. Vous devez trouver cela étrange que je n'étais pas aussi affecté par cette voix. Mais vous savez, quand on s'habitue, cela devient facile. J'avais réussi. Et même si je ne me souvenais plus de ce que c'était d'être tranquille, d'être complètement libre de mes actes, je n'éprouvais pas réellement le besoin de revenir à ces temps. Après tout, je ne ressentais aucune gêne, honte quand j'allais aborder des femmes, même des hommes, à cause de Mogsoli, alors qu'avant, j'étais on-ne-peut-plus timide.
J'imaginais une crise de colère, ou son départ avec sa promesse de ne plus jamais m'adresser la parole. Soudainement, alors que je ne m'y attendais pas, elle passa ses bras autour de mon cou et me serra fort contre elle. Je ne réagis pas, me contentant d'attendre. J'aimais beaucoup Jee Nah, comme ami, et ce n'était pas la première fois que nous ne faisions des câlins, mais là... Je sentais quelque chose de bizarre venant d'elle. Elle se recula un peu, gardant quand même ses bras autour de moi, je croisai son regard. Il était presque... amoureux ? Attendez. C'était quoi ça ? Elle s'approcha de moi et m'embrassa. Je ne compris pas ce qu'il se passait pendant une demie-seconde mais une fois le choc passait, je me rendis compte de ce qui se produisant.
Qu'est ce que j'allais faire ? C'était elle qui avait commencé, elle le voulait. Cela signifiait qu'elle n'éprouvait pas que de l'amitié pour moi, et si je la repoussais, j'avais peur qu'elle soit triste et s'en aille. Mais si je continuais, cela serait encore pire car moi, je ne pourrais jamais la voir en tant que telle ! Je n'aurais jamais été amoureux d'elle. Elle était comme ma petite sœur. Non. Il ne fallait pas que je lui donne de faux espoirs, cela aurait été encore pire. Alors que j'allais la repousser, j'entendis une voix dans ma tête. Non, pas maintenant !« Continue » disait Mogsoli. Elle semblait plus déterminée que d'habitude. Non, pourquoi maintenant ? Et dans ces conditions, l'oublier était bien trop compliqué. Je continuai alors le baiser et l'entraînai avec moi, allongés sur le lit.« Encore. » Non ! Si seulement je n'avais parlé de ça.... Mogosli. Tout était de ta faute. Je crois que c'était la première que je t'en eus autant voulu. On aurait dit que tu voulais pourrir notre amitié, pourrir une amitié qui était si précieuse pour moi. Je me détestais tellement à ce moment là. Non pas que je n'appréciais pas ce baiser, j'appréciais n'importe quel baiser, mais sachant ce qui se passerait après pour nous deux, sachant que c'était elle que j'embrassais, je me détestais. Je me rendis enfin compte à quel point je pouvais être soumis à Mogsoli parfois. Quand tout était calme, parfait, que je pouvais réfléchir tranquillement, c'était facilement que j'oubliais ce qu'elle m'ordonnait, mais j'étais déjà dans le feu de l'action, il n'y avait rien de plus compliqué. Je n'y arrivais jamais. Tellement faible. Ouais c'est ça... Mogsoli, tu n'étais qu'une perverse. Je ne savais pas qui je détestais le plus à ce moment là, elle ou moi ? Mouais... C'était moi. Mogosli était toujours comme ça ! C'était moi, à cet instant précis qui n'avais pas la force de lutter.
Elle semblait tellement aimer ça, je ne l'avais jamais vue dans cet état là. Elle m'aimait, c'était sûr, et ce que je lui faisais était la pire chose que j'aurais pu faire. Même la faire virer, ou lui casser une jambe aurait été mieux ! Elle passa ses mains sous mon t-shirt, les posant sur mon torse avant de remonter doucement et d'enlever mon t-shirt. Je me retrouvais alors seulement en caleçon, mes mains tenant fermement son visage tandis qu'elle continuait de m'embrasser, ou que je continuais de l'embrasser. Je n'aurais pas su dire qui embrassait qui. Même si techniquement, c'était les deux.
« Déshabille la » m'ordonna Mogsoli. Non ! Je ne voulais pas ! Ce n'était pas possible. Non. Il fallait que je lutte ! Une fois cela fait, je ne pourrais jamais m'arrêter, déjà que c'était terriblement dur rien que pour me résonner. Non... Non, ne fais pas ça Woon Ji. Trop tard. J'avais déjà mes mains sous sa chemisette, caressant avec délicatesse chaque parcelle de sa peau, avant de défaire chaque bouton le plus lentement possible, faisant durer le plaisir. Le plaisir ? Je ne devais pas ressentir ça. La chemisette était enlevée. Il fallait que j'arrête. Absolument. Woon Ji, tu pouvais le faire, tu en étais capable. Je me reculai brusquement dans un cri de colère. Je me précipitai hors du lit pour aller jusqu'à la cuisinette, les mains appuyées sur le plan de travail, dos à elle.
« Arrête, arrête, arrête... » dis-je à voix haute
Allait-elle le prendre pour elle ? C'était pour Mogsoli. Je devais avoir l'air complètement fou. Ce sentiment, c'était affreux. Je croyais n'avoir jamais ressenti ça une fois dans ma vie. Du désir, l'envie de l'embrasser, de la toucher, de la déshabiller, mais en même temps, je ne pouvais pas, je me détestais de vouloir faire ça. Elle serait tellement triste après. Je n'aurais jamais pu l'aimer, jamais. Je n'aurais pas pu faire comme si. Je n'étais pas comme ça. Dans ces aventures d'une nuit, je savais et l'autre personne savait également que ce n'était que ça, alors je m'en fichais. On savait que l'on de ne reverrait probablement jamais. Mais là, ce n'était pas du tout la même chose. Jee Nah... Pourquoi me faisais-tu ça ? Par le simple contact de ma peau contre la tienne, dans un moment comme celui-ci, et avec mogsoli qui m'incitait à continuer, c'était tellement dur. Sa voix ne cessait de me dire de continuer, sans pour autant hurler. C'était supportable. Il fallait que je me dise que c'était supportable.
Je l'entendis se lever du lit et marcher vers moi. La porte d'entrée était juste à côté, faites qu'elle se soit dirigée vers elle pour sortir ! Elle entoura ses bras autour de moi et se colla à mon dos. Ce simple contact me provoqua des frissons, ne faisant que renforcer mon désir. Non disait-elle, non... Elle ne voulait pas arrêter. Elle me retourna et me fit face avant d'attraper mon visage avec ses mains et de m'embrasser. Elle ne voulait pas me lâcher, je ne pouvais pas reculer. Je ne pouvais plus m'arrêter. J'attrapai également son visage, me collant un peu à elle, rendant le baisser plus violent, mordant ses lèvres, mêlant ma langue à la sienne. Mon corps frissonnait de plus en plus, j'avais chaud, j'en voulais encore. Je me détachai d'elle et la collai contre le mur juste à côté. Je déposai un baiser sur son cou, son épaule, son buste avant de remonter vers sa bouche. Je n'étais pas délicat, je n'étais pas doux, c'était passionné. Je n'étais jamais comme ça avec les autres, que avec elle. J'étais en colère. Je savais que c'était mal. Je savais que les conséquences seraient vraiment graves. Peut-être ne ne serais-je plus capable de lui parler en face, et vice-versa ? J'étais sûr que notre relation ne serait plus jamais la même. Mais je continuais. Je sentais la chaleur monter dans mon corps, je ne pouvais plus m'arrêter. Le contact de sa peau contre la mienne, le goût de ses lèvres, tout ça étaient tellement enivrant. Je ne pensais plus à ce qui nous entourait, au lieu, à l'heure, aux personnes qui pourraient entrer à cause de quelques visites imprévues, comme celle-là, qui se finissait de manière tout aussi imprévue. Tout ce que j'avais en tête, c'était elle. Elle, ses sentiments, comment elle se sentirait par la suite, et surtout en réalité, comment elle se sentait à ce moment-là.
Nos respirations se faisaient de plus en plus pressantes. Nos cœurs battaient la chamade. Je pensais à elle, pensait-elle à moi ? Je ne savais pas, et je m'en fichais. Chacun de mes membres frissonnaient à chaque baiser que je lui prodiguai, quand je goûtais sa peau pâle et sucrée, j'étais bien, plus que bien. Elle répondait à mes baisers avec douceur, toute cette douceur et cet amour qu'elle avait en elle, ce que j'avais déjà remarqué la première fois où mes yeux s'étaient posés sur elle à l'hôpital. La délicatesse de ses gestes quand elle touchait mes bras, mon torse, mon visage, mais dans un contexte différent. Un contexte plus sensuel, plus excitant dans lequel je me trouvais à cet instant-là.
Allez plus loin... Ce n'était même plus mogsoli qui me demandait ça, elle s'était tue. Je continuais tout seul, volontairement. Comment pourrais-je arrêter ? C'était impossible, elle était belle comme ça, qui résisterait face à une femme comme ça. Je la voyais déboutonner sa jupe et la faire glisser le long de ses jambes avant de la jeter sur le côté tandis que j'embrassais son cou avec passion. Elle passa ses bras autour de mon cou, prenant appuie contre le mur, enroula ses jambes autour de ma taille. Je posais mes mains sur ses fesses galbées, recouvertes par la fin tissu soyeux de son mini-short. Je la portai ainsi jusqu'à au lit avant de l'allonger doucement. Au dessus d'elle, j'observais son visage, sa gorge, sa poitrine, son ventre et ses jambes. Les moindres recoins de son corps m'attiraient, sa peau blanche et tremblante appelait mes lèvres, mes mains. Je posais ma bouche sur son buste, posant un léger baiser, puis un autre, et encore un, descendant doucement jusqu'au milieu de son ventre. Mes mains caressaient sa poitrine encore emprisonné derrière le tissu. Mes doigts se déplaçaient jusqu'à ces épaules, faisaient descendre lentement les bretelles de son soutien-gorge. Je m'allongeai à côté d'elle, un bras sur son ventre, jouant à écrire des mots dessus, les doigts tremblants, tandis que j'embrassais ses épaules complètement dénudées, remontant au cou jusqu'aux oreilles. Je posai ensuite ma bouche sur la sienne, l'embrassant avec passion, mordant ses lèvres, jouant avec sa langue. Mes mains dans ses cheveux doux, je sentais l'odeur délicate qu'ils dégageaient, un délicieux parfum de rose. Je me reculai, la regardai dans les yeux pour essayer de capter quelque chose, un signe de ce qu'elle voulait faire par la suite. Ses yeux brillaient de désir, d'envie, de plaisir. Un léger sourire, presque un rictus, vint se dessiner sur mes lèvres. J'étais heureux de la faire se sentir comme ça, mais je ne pouvais pas complètement oublier ce qui s'ensuivrait, toujours pas, et cela me mettait presque en colère. Je ne montrais rien de tout ça dans le regard que je lui lançais. Juste du plaisir, de la chaleur, ce que je ressentais particulièrement à ce moment-là. Je déposai un baiser sur chacune de ses paupières tandis que ma main parcourait son corps de haut en bas. Dès le début, mes doigts arrivèrent sur sa poitrine dénudée. Je tressaillis à ce contact. Elle avait fini par l'enlever elle-même, je voyais à présent son ancienne prison que je brûlais d'envie de retirer à côté d'elle.
Je fermai les yeux, effleurai avec mes lèvres sa joue. Ce simple contact provoquait tant de sensations en moi. C'était tellement léger. Mais la chose la plus simple, la plus banale peut provoquer beaucoup plus de plaisir qu'un baiser, qu'il soit amoureux, passionné ou langoureux. Mon corps frissonnait, je n'en pouvais plus de cette chaleur.
Allongée à coté de moi, elle se retourna afin de me faire face. Je pouvais lire dans ses yeux tout le désir qui la brûlait intérieurement. Sa bouche entrouverte, ses yeux m'appelant désespérément, sa peau rouge me priaient de la faire mienne. Je sentais qu'elle voulait aller plus loin, plus vite. Mais le plaisir ne faisait que commencer... Tant de sensations ainsi que de sentiments différentes m'envahissaient. Je voulais faire durer le moment le plus longtemps possible, ce jeu entre nous était terriblement excitant, et je sentais mon boxer très serré. Mais je voulais aussi qu'elle soit mienne, que je puisse profiter des plaisirs que son corps pouvait me procurer le plus rapidement. En même temps, bien évidemment, cela aurait été trop simple, une partie infime de cerveau, la raison, me disait d'arrêter. Pourtant, je ne l'écoutais pas. De toute façon, on était déjà allés trop loin. Un soupir s'échappa de mes lèvres quand je sentais la peau chaude de sa main frôler mon torse, me donnant la chair de poule. Alors qu'elle caressait mon thorax, je sentais ma virilité se faire de plus en plus envieuse, presque douloureuse mais j'appréciais tellement ce simple geste que je ne pouvais pas rompre ce contact pour achever mes envies rustres. Elle remonta sa main jusqu'à attraper mon visage avant de m'embrasser. Son baiser était doux et passionné à la fois. Je mêlai ma langue à la sienne, jouant avec elle, caressant ses lèvres avec la mienne, les mordant, rendant ce baiser plus passionné qu'il ne l'était déjà. Tandis que je savourais le goût savoureux de sa bouche, je sentis une de ses mains descendre lentement le long de mon dos, ne manquant pas de lui prodiguer quelques caresses ayant pour but de me rendre encore plus brûlant d'envie. Ses doigts s'arrêtèrent à la fin de ma colonne vertébrale, jouant légèrement avec l'élastique de mon caleçon avant de continuer à descendre. Voulait-elle plus elle aussi ? Oui, je le savais.
Je me retournai brusquement afin de me retrouver au dessus d'elle. Je posai mes lèvres sur son oreille, jouant avec son lobe tandis qu'une de mes mains ne manquait pas de taquiner l'un de ses seins. Je la sentais bien mais frustrée que je ne fasse rien de plus. Elle m'appelait. Je ne me fis pas demander une deuxième fois. Ma main libre descendit jusqu'à arriver à l'élastique de son sous-vêtements, seul barrière de tissu que nous portions chacun, nous empêchant de ne faire qu'un. Je lui débarrassai de celle-ci avant de faire de même avec mon boxer, libérant ma masculinité qui était à son paroxysme. Il fallait qu'elle devienne même. Je l'interrogeai du regard, attendant son approbation. Il ne fallut pas longtemps avant d'avoir sa réponse.
Elle était impatiente. Moi aussi. C'était avec délicatesse que j'entrai en elle. Ce simple mouvement fit entrer une vague de plaisir que je ne pouvais contrôler, rapidement suivi par d'autres alors que j'entamai des mouvements de va-et-vient incessants. La sensation de la posséder, qu'elle soit mienne, la chaleur et les mouvements autour de ma virilité me rendaient complètement fou. Je ne voyais plus rien, n'entendait plus rien. Il n'y avait plus qu'elle et moi et l'instant présent. Je croyais que jamais je n'avais ressenti un tel plaisir. C'était l'interdit et le danger qui provoquaient ça. Plus le temps passait, plus je m'enfonçai, faisant monter le plaisir et la chaleur dans son corps alors que je ne pouvais retenir des râles de plaisir insoutenables. Elle entoura mon bassin de ses jambes et ondula ses hanches afin d'épouser les mouvements des miennes. Je sentais ses mains parcourir mon corps avant d'aller se positionner dans mon dos. Ses ongles s'enfoncèrent dans ma peau tandis que j'octroyai un dernier coup de bassin. La voir atteindre le plaisir le plus intense me donna la même sensation. Une sensation que je n'avais jamais connu jusque là, le plaisir le plus total, je ne voyais, n'entendais plus rien, ne faisais plus attention à ce qui se passait. Je repris conscience tandis que je me vidais en elle dans un soupir de satisfaction intense avant de me retirer et de m'allonger à côté d'elle, les yeux rivés au plafond.
Dernière édition par Nam Dong Woo le Sam 24 Nov - 20:13, édité 2 fois |
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